Comme certaines de mes pointes sèches d'hier ou d'aujourd'hui mais avec plus de fluidité et
moins de densité, les lavis d'encre de Chine articulent trois valeurs de gris comparables aux
trois voix d'une fugue. Ils se distinguent des pointes sèches surtout en raison de leurs
accentuations géométriques.
Les graphismes à la plume révèlent une géométrisation des formes plus accusée encore, aux
antipodes de l'esthétique de suggestion des dessins à connotation onirique dont la qualité de
texture disparait à l'écran.
Mes différentes manières n'obéissent pas à une évolution irréversible. Elles
ressurgissent périodiquement en leit-motiv.
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